Et voici détaillée rien que pour vous la dernière tendance en matière de management.
Parce que résister à une séquestration, ça s'apprend, des formations expliquent comment affronter l'épreuve.
Il n'est pas question à la libération de ne pas être à son avantage face aux caméras des chaines de télévision. Mal rasé, affamé et chiffonné : que nenni !
Un patron qui se respecte peut aujourd'hui bénéficier des conseils des experts en séquestration pour éviter ce genre de désagrément.
Face à la multiplication des affaires de dirigeants pris en otage par des salariés licenciés en colère, les formations pour apprendre à gérer au mieux ce moment difficile se multiplient.
Qu'y apprend-on ?
- La prévoyance : veillez à toujours avoir dans le tiroir de son bureau quelques barres de céréales. ( l'eau, en principe , ne vous sera pas refusée)
Par ailleurs, un rasoir, un déodorant, quelques lingettes et une chemise propre permettront de conserver une apparence digne.
- Plus technique : avoir en permanence dans sa poche une lettre de décharge signée de la direction générale si vous n'êtes pas vous même le grand manager.
Elle indiquera que la délégation de pouvoir dont vous disposez sera annulée en cas de séquestration.
Autre document susceptible d'intimider les grévistes : une copie du chapitre 4 du Code pénal qui précise que leur action est passible de vingt ans de prison.
- Enfin quelques astuces, empruntées aux méthodes de négociation du GIGN : parlez toujours moins fort et moins vite que vos interlocuteurs. Cela devrait les amener à s'exprimer plus posément et donc à faire baisser la pression d'un cran.
Et prohibez le mot "non" au profit de "pourquoi pas, mais..."
Bien évidemment, le mieux est de ne pas en arriver là.
Solution simple et infaillible inventée par un DRH : il a annoncé aux salariés la fermeture de leur usine par visioconférence....
Lu dans le dernier numéro de la revue "Capital" du mois de juin.
Parce que résister à une séquestration, ça s'apprend, des formations expliquent comment affronter l'épreuve.
Il n'est pas question à la libération de ne pas être à son avantage face aux caméras des chaines de télévision. Mal rasé, affamé et chiffonné : que nenni !
Un patron qui se respecte peut aujourd'hui bénéficier des conseils des experts en séquestration pour éviter ce genre de désagrément.
Face à la multiplication des affaires de dirigeants pris en otage par des salariés licenciés en colère, les formations pour apprendre à gérer au mieux ce moment difficile se multiplient.
Qu'y apprend-on ?
- La prévoyance : veillez à toujours avoir dans le tiroir de son bureau quelques barres de céréales. ( l'eau, en principe , ne vous sera pas refusée)
Par ailleurs, un rasoir, un déodorant, quelques lingettes et une chemise propre permettront de conserver une apparence digne.
- Plus technique : avoir en permanence dans sa poche une lettre de décharge signée de la direction générale si vous n'êtes pas vous même le grand manager.
Elle indiquera que la délégation de pouvoir dont vous disposez sera annulée en cas de séquestration.
Autre document susceptible d'intimider les grévistes : une copie du chapitre 4 du Code pénal qui précise que leur action est passible de vingt ans de prison.
- Enfin quelques astuces, empruntées aux méthodes de négociation du GIGN : parlez toujours moins fort et moins vite que vos interlocuteurs. Cela devrait les amener à s'exprimer plus posément et donc à faire baisser la pression d'un cran.
Et prohibez le mot "non" au profit de "pourquoi pas, mais..."
Bien évidemment, le mieux est de ne pas en arriver là.
Solution simple et infaillible inventée par un DRH : il a annoncé aux salariés la fermeture de leur usine par visioconférence....
Lu dans le dernier numéro de la revue "Capital" du mois de juin.
1 commentaire:
Article intéressant qui montre la capacité d'adaptation du management aux évolutions sur le terrain. Dans les années à venir, il ne serait pas surprenant que les étudiants DRH se voient offrir un gilet pare balles en même temps que leur diplômes. Drôle d'époque ;-)
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