Simone Louise des Forest -(de son nom complet Simone Louise de Pinet de Borde des Forest)- était un célèbre pilote automobile (que personnellement je ne connais absolument pas !) Née à Royan en 1910, elle passe son permis de conduire dès 1929, faisant d'elle une des premières françaises à avoir eu son permis .
Elle entame une carrière de pilote automobile professionnel, bousculant les préjugés de l'époque, et participe à de nombreuses courses et à des rallyes jusqu'en 1957, sans avoir eu le moindre accident au cours de sa carrière.
Elle fut aussi l'une des premières femmes à ouvrir une auto-école en 1950.
Admirée des plus grands, elle se consacre ensuite à l'aviation civile.
Son nom reste associé à la célèbre expression "En voiture Simone !"
Expression tronquée avec le temps car la phrase complète était : "En voiture Simone, c'est toi qui conduis, c'est moi qui klaxonne !"
Souvenez-vous d'Intervilles, émission de l'ORTF animée par Guy Lux et Léon Zitrone. Une troisième personne était chargée d'arbitrer les deux parties : Simone Garnier.
Par analogie avec Simone Louise des Forest, Guy Lux lança un jour la réplique "cri de guerre" que l'on entend toujours aujourd'hui quelque soit notre prénom !
Lu dans le numéro de juin de la revue "Mieux Voir" disponible en salle adulte.
La Médiathèque s'associe au Festival Normandie impressionniste avec des collections réactualisées.
Parmi les nouveautés :
Les impressionnistes et leur temps de François Mathey, ed. Hazan
Ce guide est une invitation au voyage, une promenade hors du temps, l'occasion de découvrir, par la confrontation des toiles et des photographies, la réalité des paysages d'autrefois : Paris, mais aussi Giverny, Auvers-sur-Oise, Dieppe, Trouville....
Catalogue de l'exposition du musée des impressionnistes de Giverny.
Une soixantaine d'œuvres impressionnistes, postimpressionnistes et fauves de collections publiques illustrant la fréquentation des rives de la Seine par des artistes comme Manet, Renoir, Monet, Pissarro, Sisley, Caillebotte ou Guillaumin.
Plein Air de Stéphanie Grégoire, ed. Hazan
Etudie l'influence chez les peintres impressionnistes des sujets contemporains comme le chemin de fer, les guinguettes du bord de l'eau, les sports de plein air, etc. ainsi que leur technique picturale : cadrage, composition, couleur. Enfin, ce document présente les lieux qui les ont inspirés comme la vallée de la Seine, la Manche et la Provence.
Les impressionnistes et la politique de Philip Nord, ed. Tallandier
Il est question de l'évolution de l'impressionnisme, depuis ses débuts au Second Empire jusqu'à son déclin à la fin du 19ème siècle est étudiée dans son contexte socio-économique. L'auteur décrit les opinions et les engagements des peintres impressionnistes et leur évolution tout au long de leur carrière, de Monet à Renoir ou Pissarro en passant par Degas et Cézanne.
Ce guide de Jean-Paul et Anne Crespelle (ed. Hazan) permet de retrouver les traces, lieux de villégiature et auberges fréquentés par les impressionnistes, ainsi que les sites qu'ils ont peints, du Havre à Dieppe en passant par Rouen et Honfleur.
Bibliographie complète disponible dans l'espace Adultes
Mardi 15 juin. Musée d'Art et d'Histoire de Lisieux.
C'est une matinée hors du commun pour l'équipe de la médiathèque, qui a répondu présent à l'invitation d'une visite guidée de l'exposition "Léon Riesener 1808-1878 : du Romantisme à l'Impressionnisme", développée ici.
L'artiste.
Un accueil chaleureux suivi des commentaires passionnés du conservateur M. Jean Bergeret nous ont accompagnés tout du long. Des salles aux murs lumineux blanchis pour l'événement, avec des dispositifs d'éclairages ponctuels de formes et d'intensités variées participent à une véritable scénographie, le pendant étant la mise à l'ombre de certaines oeuvres ou documents. Rien de tel qu'une lumière en halo pour révéler la réussite d'une carnation ou du glacis d'un fond.
Notre guide.
On y apprend qu'être présent à un Salon d'artistes n'était déterminant pour la vente d'oeuvres que si les tableaux y figuraient à la bonne hauteur d'accroche. Et puis mon sang de féministe n'a fait qu'un tour en comprenant que seules les femmes artistes célibataires y avaient une place : mariées, elles devaient céder leur droit de créer à celui de procréer !
D'une salle à l'autre, on réalise bien que Riesener touchait à des techniques très variées, avec une prédilection pour les pastels, des jeux d'ombres et de lumières grâce au mélange délicat de fusain et sanguine rehaussé de craie blanche. Il a peint des portraits, des paysages pré-impressionnistes avec une prédilection pour les nuages, réalisé des copies, livré des commandes de l'Etat. Il s'est même frotté à la photo en réalisant un daguerréotype de son cousin Eugène Delacroix.
Un visiteur ébaubi.
Et puis, au détour d'une salle, des commentaires créent la surprise : Riesener, serein dans sa vie personnelle et linéaire dans sa carrière artistique, fut aussi capable de non-conformisme.
Cet homme, fasciné par Rubens, n'hésitait pas à faire scandale en faisant figurer des femmes nues dans des tableaux de l'Histoire sainte. Cet artiste, très sensible à son entourage, croquait le portrait d'une jeune paysanne rentrant de la messe ou celui d'une bohémienne (superbe !) à une époque où on ne portraiturait pas les gens simples. De quoi rendre le personnage autrement sympathique !
Catalogue de l'exposition disponible dans l'espace adultes. Merci à Isa pour les clichés !
...et il arrive, lorsque le soleil parait, qu'une étrange réaction touche environ une personne sur quatre.
Regarder l'astre solaire en face fait éternuer !
On l'appelle le réflexe photo-sternutatoire. Il serait héréditaire.
Le coupable est sans doute le nerf trijumeau qui joue un rôle essentiel dans nombre d'actes involontaires.
Ce nerf crânien possède de nombreuses ramifications dont la plupart aboutissent sous la peau du crâne.
Quelques-unes s'étendent jusqu'aux yeux, où elles réagissent à des irritants comme les vapeurs d'oignons qui nous font pleurer ou la lumière vive qui fait éternuer certaines personnes.
Les pilotes de chasse américains, qui font souvent face au soleil, sont sélectionnés sur des critères de sensibilité au réflexe photo-sternutatoire.
Vous qui éternuez, abandonnez tout espoir de voler !...
Pour ceux qui s’interrogent encore sur l’intervenante Annie et le sens des ateliers les deux textes ci-dessous sont pour eux.
Est-ce la lune noire qui agit d'une certaine façon sur moi ? Je ne sais pas à vrai dire mais j'avoue m'être réveillée tendue. Comme si, intuitivement, je sentais que j'allais recevoir une nouvelle. De ce fait, j'ai tourné toute mon attention vers l'intérêt récent que je porte à notre atelier et j'ai pu me détendre et relativiser. Voilà, l'un des bienfaits de ce genre d'activité.
Sandrine
ANNEIGE
« A petits pas menus,
la neige est revenue... » me fredonne Eusèbe.
Annie est surprenante.
Normal, c'est une conteuse!
Comme Dame Holle, elle peut, elle, faire neiger le printemps
rien qu'en secouant nos couettes à sa fenêtre de paille cernée.
Annie est magicienne.
C'est notre bonne fée; celle qui chatouille les plumes
et sussure à mots doux des idées insolites.
Elle sort les solitaires et les bernard l'hermitte de leur coquille
et rassure les timides sur leurs mots chuchotés.
Du coup, on se remplume!
Pour peu, on s'y croirait...écrivains pour une heure, ou deux, ou trois
le temps ne compte pas quand il est raconté.
Mais jamais d'écrits vains puisqu'ensemble partagés.
Les pas dans la neige, est-ce que ce sont les siens?
Je la croirais bien assez discrète pour descendre sans bruit du piédestal
où nous l'aurions volontiers mise, en toute amitié...
mais surtout pour ne pas nous risquer nous-mêmes sur l'échelle!
Discrète et puis, sans doute, trop gourmande de la vie pour s'immobiliser ainsi.
Annie a pris la poudreuse d'escampette.
Si on veut savoir où, il ne nous reste plus qu'à suivre ses pas dans la neige
et à sortir du cadre, sur la pointe des pieds.
Je parie qu'aussitôt on verra le printemps et son envolée verte qui nous prendra au nez,
tout câliné de pluie bienfaisante pour nous souffler, comme une fleur de pissenlit célèbre,
jusqu'au Paradis des mots, un brin de paille dans les cheveux.
Lecture publique le samedi 26 juin à 15h. dans l'auditorium de la médiathèque
« À la Recherche des Impressionnistes » avec Marcel Proust
par SODIUM
Lecture d’extraits d’À la Recherche du temps perdu de Marcel Proust, par Ophélie Orecchia, de la compagnie SODIUM.
Pour le festival Normandie Impressionniste, la compagnie SODIUM a choisi Marcel Proust. Ne peut-il être considéré comme un complice artistique de l’Impressionnisme, à la fois par l’histoire et par la géographie : la fin du XIXe et la Normandie ? Tout au long de son abondante production littéraire, Proust fait constamment référence à des tableaux ou des conversations autour de ces artistes. Il alla même jusqu’à créer un personnage dans À la Recherche du temps perdu qui pourrait être un peintre de cette école. Lequel ? On ne sait, car ainsi qu’il écrit : « Cher ami, il n'y a pas de clefs pour les personnages de ce livre ; ou bien il y en a huit ou dix pour un seul." Cependant, on voit tantôt dans le nom d’Elstir, un mélange d’Helleu (impressionniste français) et de Steer (impressionniste anglais), tantôt une anagramme de Whistler aux deux premières lettres près. SODIUM est une association de comédiens qui aiment susciter des événements littéraires. Cette compagnie a travaillé pour Paris Bibliothèques, la Maison de la Poésie, le Printemps des Poètes … Au-delà d’une démarche pédagogique de la découverte d’un livre, elle promeut la lecture à voix haute, en lui donnant une dimension spectaculaire.
Ophélie Orecchia a joué avec Michael Lonsdale, Nada Strancar, Denis Lavant, Laurent Malet, Xavier Deluc, Anne Delbée dans Shakespeare, Marivaux, Feydeau, Hofmannsthal, Artaud…. et des spectacles poétiques d’après Apollinaire, Rimbaud, Hugo, Nerval, Pessoa et René Char…
A la médiathèque, en Espace Jeunesse, une table se trouvait mise. Nathalie Novi y prenait le thé. Elle avait apporté ses fusains, mis un chapeau fleuri, chaussé ses plus beaux escarpins. Nous, nous avions déroulé le tapis (presque rouge), installé les enfants et préparé la musique, La Callas pour l'occasion*.
Nathalie Novi est illustratrice de livres pour enfants. Elle est artiste avant tout, précise-t-elle : elle nous l'a démontré de la plus belle manière qui soit.
Au coeur de l'Espace Jeunesse, l'air de La Wally (opéra de Catalani) chanté par Maria Callas était diffusé en volume 50 ! Pendant ce temps, Nathalie Novi esquissait une petite fille, un petit être, un oiseau, un lapin ou un chat de Cheshire. Les enfants de Grande section et de CP étaient bouche-bée, fascinés. Chez les adultes, on devinait le poil qui se dresse sur l'avant-bras et l'oeil plus tout à fait sec. La fin de la musique marque le moment où Nathalie Novi repose feutres et pastels : un dessin parfait s'offre à nous. Cinq minutes de pure magie.
Là, Nathalie Novi se présente et engage une discussion spontanée avec les enfants. Puis, la conversation laisse place à l'atelier de confection de chapeaux (dans les livres de l'illustratrice, les personnages ont toujours des chapeaux aux formes et aux couleurs bigarrées). Grâce au modèle de chapeau de lutin réalisé par la modiste chapelière Hizzy (http://hizzy.over-blog.com/), chaque enfant a eu un patron à décorer. Au final, les enfants-lutins se sont parés de leurs chapeaux et la fée Novi y a apporté sa signature : un oeil, une fleur, un oiseau. Certains ont même eu un coeur.
Merci aux élèves GS-CP des écoles Guizot, Jules Verne et Jean de La Fontaine pour les travaux réalisés et l'accueil réservé à l'artiste.
Merci à Hizzy pour sa précieuse contribution.
Un merci chaleureux à Nathalie Novi pour ces moments de grâce !
… A la médiathèque, couché derrière les baies vitrées de l'espace jeunesse, le chat de Cheshire continue de nous ronronner à l'oreille...
* les enfants ont travaillé sur le livre de Nathalie Novi « La petite fille et l'oiseau » qui met en scène l'enfance de Maria Callas. Ce travail rentre dans le cadre du projet Passerelle.
En mai, des élèves de CM2 et 6ème des établissements de Saint Exupéry, Jean Moulin, Guizot, Laplace, Trevett et Michelet ont rencontré l'auteur et iconographe Béatrice Fontanel. Cette rencontre a eu lieu à la Médiathèque dans le cadre du projet Passerelle.
Les élèves ont accueilli l'auteur en lui présentant leurs travaux réalisés sur le monde de la mine (panneaux, livres) en clin d'oeil à son livre « Auguste le galibot ou la mélodie de l'espoir » publié quelques années plus tôt.
Avec Béatrice Fontanel comme guide éclairée, les élèves, enseignants et bibliothécaires ont voyagé à New York au sein de la collection The Morgan Library& Museum (http://www.themorgan.org/home.asp).
L'auteur a ainsi montré qu'Internet avait été un riche outil d'informations et un précieux réservoir d'images pour réaliser son livre sur l'enluminure médiévale "Merveilleux Moyen-Age" (paru en mars 2010, ed. Palette). Béatrice Fontanel a discuté avec les élèves sur les travaux du copiste et de l'enlumineur. Ils ont échangé sur la place du livre au Moyen Age et sur la réalisation d'un livre aujourd'hui.
Cette discussion a été enrichie avec la présentation, par le directeur de l'établissement Olivier Bogros, du « trésor » de la Médiathèque : une Bible sur vélin, avec enluminures du XIII siècle. Les élèves ont montré un bel enthousiasme devant ce document précieux où les enluminures cachent parfois des drôleries (cf. l'image où un personnage se bouche le nez devant un petit diablotin !).
Le livre "Merveilleux Moyen Age" de Béatrice Fontanel ainsi que ses autres documentaires (notamment sur l'art et sur l'histoire) sont disponibles à l'Espace Jeunesse de la Médiathèque.
Merci à tous pour la richesse de cette rencontre !
Depuis deux semaines, les usagers des ordinateurs de la médiathèque sont accueillis par une page Netvibes lorsqu’ils lancent Internet.
Netvibes est un service de personnalisation de page web. Il vous permet de créer votre propre page en y intégrant les services qui vous intéressent. La médiathèque a décidé d’en fabriquer deux afin que les utilisateurs des postes informatiques soient guidés dans leur exploration du web. Concrètement, au lancement du navigateur Internet, le public découvre une nouvelle page d’accueil. Le moteur de recherche Google se trouve toujours au centre mais il est complété par de nombreux services : météo, actualité de la médiathèque, accès vers les sites les plus consultés… Des onglets orientent vers des thématiques : la recherche d’emploi, les sites pratiques, les jeux, la téléformation… Le but étant de faire gagner du temps aux usagers ou de leur faire découvrir de bonnes adresses sur la toile.
Compte tenu de la différence de public, les espaces jeunesse et multimédia ont chacun leur propre page Netvibes. Les enfants ont ainsi accès à des sites adaptés à leur âge: jeux, activités de création, recherche documentaire…
A noter que ces deux pages Netvibes sont publiques, autrement dit elles sont consultables à domicile. Il suffit de cliquer sur :
Quelle équipe sera championne du monde de football 2010 ?
Une première pour l'Afrique du Sud
La coupe du monde monde de football de 2010 est la 19e édition et se déroule du 11 juin au 11juillet 2010 en Afrique du Sud.
L'Afrique du Sud devient le premier pays africain à accueillir la compétition.
Ce sont donc au total 32 équipes qui se disputeront l'un des trophées sportifs les plus médiatisés.
L'Afrique du Sud a déjà organisé de grands évènements tels que la coupe du monde de rugby en 1995 et la coupe du monde de cricket en 2003 mais la coupe du monde de football reste le plus grand évènement sportif après les jeux olympiques.
La mascotte "ZAKUMI"
La mascotte officielle de la coupe du monde 2010 est Zakumi, un léopard avec des cheveux verts.
Son nom vient de "ZA" l'abréviation internationale pour l'Afrique du Sud, et "KUMI", un mot qui signifie "dix" dans diverses langues africaines.
L'anniversaire de Zakumi coïncide avec le Youth Day, en Afrique du Sud mais aussi en 1994, l'année des premières élections non racistes.
Le principal slogan de la mascotte est "Zakumi's game is fair-play" (le jeu de Zakumi est fair-play).
Les Bafana Bafana
Avant 1994, toutes les équipes nationales d'Afrique du Sud étaient surnommées "springboks" (du nom d'une sorte de gazelle) maintenant c'est "Bafana Bafana" qui signifie "les garçons" en xhosa, une langue d'Afrique australe parlée par des millions de Sud-Africains.
La vuvuzela, le souffle des Bafana Bafana
La vuvuzela (prononcer vouvouzéla), aussi appelé lepatata en setswana, est une corne d'environ un mettre de long, c'est l'instrument indispensable des supporters sud-africain. "Faire du bruit" ou "douche", la signification du mot n'est pas très claire, mais on dit que son ancêtre était la corne de Kudu (une antilope sud-africaine) qui servait à battre le rappel de tous les villageois.
Qui succedera à la prestigieuse équipe Italienne ? Les prétendants sont nombreux et cette année le favori tout désigné est l'équipe d'Espagne ! Alors on verra bien et que le meilleur gagne...
Sortie récente du tome 1 de cette nouvelle série de ARIKAWA Hiro et YUMI Kiiro aux éditions Glénat. Rien qu'au titre vous devinez que nous nous sentons très concernés par ce récit qui nous propose de suivre les aventures d'une unité d'élite chargée de protéger les livres et leurs lecteurs !!!
Les bibliothécaires parlent pas uniquement de livres, de prix littéraires ou du dernier film à aller voir. Au détour d'un après-midi ensoleillé, en compagnie de quelques usagers, nous avons dûment disserté sur ... les tiques.
Les propriétaires d'un compagnon félin, canin, à 2 ou 4 pattes (voire d'enfants aventureux) auront compris que nous parlons du parasite qui se nourrit du sang de son hôte (mammifère, oiseau, reptile ou humain). Non Vivian, pas 'un vampire', juste un acarien peu agréable, comme l'est un certain moustique-tigre en ce moment, car transmetteur de bactéries et virus lorsqu'il en est porteur. J'ai appris une foule de choses sur le monde des tiques et je vous recommande 2 sites internet :
* tiques.fr dont les photos sont supportables et le lien est sur l'image du dessous
* tiquatac.org très pratique pour s'informer sur la fameuse maladie de Lyme, comment se prémunir et se débarrasser de tiques. Le lien estici.
En résumé, la tique évolue de larve en lymphe puis en adulte et elle a besoin de se nourrir pour passer d'un stade à l'autre. La plus dangereuse est la femelle - no comment- qui se nourrit abondamment pour pondre.
On la trouve très active au printemps et en automne, un peu partout dans les bois, hautes herbes, feuilles où elle guette son futur hôte en se laissant tomber sur lui. Elle dispose d'un arsenal redoutable incluant des griffes, des pinces coupantes et un rostre!
Très désagréable expérience que de devoir la retirer et à chacun son truc mais quel est le moyen le plus efficace et sans danger ? Surtout, ne faîtes pas comme moi et bannissez éther, vaseline, huile, graisse ou un quelconque produit pour l'endormir ou faciliter l'extraction pour éviter qu'elle ne propage une infection en régurgitant. Il est recommandé - surtout par les pharmacies- d'utiliser le 'tire-tic', ustensile breveté mais dont je ne sais absolument pas me servir.
Pour illustrer ce message, la collaboration et l'expérience de quelques félins de nos connaissances s'inposaient : je remercie dans l'ordre, Chaballe, boule de poils noirs de Claudine,
Khalas, le chat en convalescence de Michèle,
et Mallow, notre très cool chat de la maison, pardon, le chat de ma fille Marylou.
Petit bonus, vous trouverez la liste de nouveautés 'Cinéma' du mois de mai - mieux vaut tard... - derrière la photo de Khalas.
Mais qui donc à inventé cette drôle de machine qui nous enchantait quand nous étions enfants ?
Dès le VIe siècle, les habitants de Constantinople goûtaient aux joies du manège, installés dans des paniers.
Ce n'est qu'au Moyen-Age, durant les Croisades, que les chevaux de bois firent leur apparition.
Les chevaliers chrétiens découvrirent en effet que les cavaliers arabes se formaient au combat en livrant bataille à des chevaux de bois ou de paille suspendus par des cordages à un cercle tournant attaché au sommet d'un mât.
Les croisés rapportèrent en Europe l'idée de cette machine d'entraînement.
Les premiers carrousels ont été conçus autour de vrais animaux attachés au bout d'une corde et tournant autour d'un piquet.
Une version de ces attractions, sous la forme d'un spectacle militaire, est apparue en Italie à la fin du XVIe siècle pour remplacer les tournois jugés trop violents.
Elle a ensuite été popularisée en France sous Henri IV.
On la baptisa carosello ce qui signifie "petite guerre" en italien et ce qui donna carousel en anglais et carrouselen français.
Le manège moderne apparut dans les foires au début du XIXe siècle sous l'impulsion de Michael Dentzel, un fabricant allemand de chariots.
Quand à la rotation, le sens privilégié aux États-Unis et en France est la senestre tandis que pour nos amis Anglais, c'est plutôt la dextre....
"Un grand merci à vous tous et vous toutes pour votre participation précieuse à la Semaine de la Petite Enfance 2011.Une semaine qui au-delà d’offrir des animations aux petits lexoviens et leur famille, a permis de tisser du lien entre les différents partenaires de la Petite Enfance. Chacun s’est dévoilé avec ses propres expériences, ses attentes, ses difficultés. Et ces moments de partage ont permis ainsi d’offrir des réponses, des confrontations insolites, enrichissantes et surprenantes.
Au cœur de cette semaine, une intervenante de grande qualité, Marie-France PAINSET nous a ouvert son univers de comptines. A travers son vécu, ses rencontres, elle nous a fait découvrir un monde de poésie et de tendresse. Une grande bouffée d’oxygène pour les petits et les grands."
Laure Moche, coordinatrice de la Petite Enfance, ville de Lisieux.
Elle est partie, la p'tite marchande d'comptines Elle est partie à Lille ou à Paris Elle reviendra, la p'tite marchande de comptines Elle reviendra, quand le printemps s'ra là.
Texte librement inspirée de la comptine "Le p'tit marchand de galettes"
Vous avez peut être plusieurs centaines d'euros à jeter par la fenêtre ???? A moins que vous ne soyez un Geek ????
Si la réponse à une de ces deux questions est oui, alors regardez cette vidéo ci dessous. Elle vous présente de façon très complète toute l'utilité qu'il y a à acquérir la nouvelle petite merveille de technologie à la mode chez les acheteurs compulsifs ;-) J'ai nommé l'IPAD. La concurrence va être rude sur les terrasses des cafés avec les beaux jours qui reviennent. Les possesseurs de mini PC vont passer pour des ringards à côté des possesseurs forcement heureux d'un IPAD. La sélection naturelle dans toute sa splendeur ;-)
Le dernier roman de Laurent Seksik intitulé Les derniers jours de Stefan Zweig a remis l'écrivain autrichien et la Vienne d'avant la Seconde Guerre au devant de l'actualité littéraire. Mais au-delà du grand mérite historique et intellectuel de ce roman, il faut noter le talent incroyable de Laurent Seksik pour dresser le portrait psychologique d'un homme inconsolable et traqué :
"Depuis huit années, depuis cet instant où il avait fui Salzbourg, il avait cherché la paix. Partout où il avait déposé ses valises, le monde s'était dérobé sous ses pas. Partout la guerre le rattrapait. Il songea que la guerre le rattrapait. Il songea que la guerre n'atteindrait pas ces collines. Il avait trouvé l'endroit du repos éternel."
Dès le début, le romancier ne nous cache pas l'issue fatale de ces six mois puisqu'il s'agit d'un personnage connu, il fait ainsi le choix de ne pas entretenir un suspens qui n'en est paspour se concentrer sur l'évolution intérieure du personnage.
On peut alors se laisser porter par son écriture naturelle, douce même parfois, l'auteur ayant trouvé ici l'ambiance confidentielle qui convient pour parler d'un homme retiré du monde.
"Il était une fois... Le Quartier Sud" d'Yves Robert, agrémentée de photographies confiées par des habitants du quartier ou appartenant à la médiathèque André Malraux.
La ville de Lisieux a souhaité s'associer à Yves Robert, ancien journaliste, pour retracer les moments forts du quartier sud, quartier profondément modifié par le temps.
Avec ce nouveau travail de mémoire, Yves Robert nous fait (re)découvrir un quartier très riche en lieux de vie.
(Les usines Mommers, Nestlé et Wonder)
Au niveau des lieux qui ont marqué les esprits (les Quatre-Sonnettes, l'Ondine, la Laborieuse, le Vélodrome d'Orival), puis les gymnases (Bobet, Mimoun, Fauqueux) et bien d'autres encore qui, grâce à cet ouvrage, resteront gravés à jamais dans la mémoire de notre Quartier Sud.
(extrait de la préface écrite par Bernard AUBRIL, Maire de Lisieux, Vice-Président du Conseil Général du Calvados et Daniel de la CROUEE, Adjoint au Maire, Développement social des quartiers, Démocratie participative, Tranquillité et sécurité.)