 Le
 23 juin Annie Bons nous invite à "’Reprendre le personnage  inventé il y
 plusieurs séances (ou inventez-en un pour les nouveaux …)- Concevez 
lui, éventuellement, une ou de nouvelles aventures et formulez une fin, 
une conclusion à l’ensemble" Tous les textes ne sont pas présents, au 
fur et à mesure de leurs arrivées, ils figureront sur le portail de la 
médiahèque.
Le
 23 juin Annie Bons nous invite à "’Reprendre le personnage  inventé il y
 plusieurs séances (ou inventez-en un pour les nouveaux …)- Concevez 
lui, éventuellement, une ou de nouvelles aventures et formulez une fin, 
une conclusion à l’ensemble" Tous les textes ne sont pas présents, au 
fur et à mesure de leurs arrivées, ils figureront sur le portail de la 
médiahèque.
Monsieur
 Néplion se prénomme Charles. Il a une femme, Lisa et deux enfants: 
Hélène et Victor. Il est assis sur un banc du Jardin des Plantes à 
Paris. Il regarde les gens passer. Il ne les voit pas. Il est tout 
tourné vers le dedans. Monsieur Néplion s'attriste sur son sort. Il 
griffonne les pages d'un cahier d'écolier. Au fur et à mesure, la main 
se décrispe. Il laisse aller. Les mots s'écoulent. Les lettres 
grandissent. Penchons-nous par dessus son épaule. « Monsieur Néplion » 
Bruno Allain Edition de l'Amandier
Biographie
 condensée d'un génie peu communication. Né de mère bretonne et 
périgourdin, il était le dernier d'une nombreuse famille. Son frère 
jumeau s'était spécialisé très jeune. Il vendait des enclumes à la 
sauvette dans les couloirs du métro Bastille Gare de Lyon. Mais peu. 
Lui-même devint animateur sur les bateaux de croisière.
Prestidigitateur
 talentueux il ne se séparait jamais de son perroquet. A son grand 
regret, quoique d'une famille réputée polyglotte le petit volatile ne 
parlait pas. Son clou du spectacle, le même chaque soir attendu 
passionnément: dans un grand jet d'étincelles, il sortait un chapeau 
d'un lapin, un soir, un baba au rhum qui traînait par là s'enflamma, le 
bateau brûla, coula corps et bien. Seul, il se retrouva sur une porte au
 gré des flots en furie. Son perroquet était là. Dépenaillé, cramponné 
d'une patte, l'autre sur l'oreille, il répétait en boucle: quel jeu de 
con! Plus tard, il se consacra à la vente de brosse à dents bilingue 
pour gauchers. Il en vécu mais petitement. Sur ses vieux ans, il ne 
pouvait toujours pas s'en passer. Du gourdin. Gloire crée sur la terre 
pour pigmenter le cloaque, il ne troubla même pas la surface de la 
flaque et sombra dans l'oubli sans avoir existé. B...
Inspecteur
 Malavoy : diplômé de l’école nationale des beaux arts avant d’entamer 
une carrière dans la police. Surnommé inspecteur gadget par ses 
collègues pendant ses études car s’appuie toujours sur la technologie 
afin de mener à bien ses enquêtes. Il avait été conditionné par une 
série télévisée qu’il regardait dans son enfance. Célibataire, il est 
réputé par son caractère peu aimable, son comportement hypernerveux. 
Propension aux disputes et aux altercations lors de ses enquêtes. Mon 
regard est attiré par la une des journaux sur les étagères : trafic 
d’œuvres d’art à la médiathèque de Lisieux, mais oui mais c’est bien 
sûr. L’article était ainsi rédigé : L’inspecteur Malavoy, mandaté par le
 quai d’Orsay, enquêtait depuis des mois sur des trafics d’œuvres d’art.
 Grâce à ses bonnes connaissances en histoire de l’art, l’inspecteur a 
découvert le subterfuge permettant depuis des années de trafic de ces 
œuvres par l’intéressé …d’un réseau international de trafiquants d’art. 
Ces derniers utilisant la fameuse technique du palimpseste. Qui 
permettait en d’autres temps de faire disparaître l’écriture d’un 
manuscrit sur parchemin et d’écrire à nouveau. Les trafiquants avaient 
donc adopté cette technique afin d’écouler discrètement tous ces 
tableaux de valeur dérobés depuis des années : les fameux Chagall, les 
nymphéas de Monet. Heureusement, contrairement à la technique du 
palimpseste qui faisait disparaître les impressions d’origine, les 
trafiquants avaient été prudents. Afin de tirer la meilleure partie de 
ces œuvres, rien n’avait été effacé. Et c’est grâce à l’appareil photo 
miniaturisé et ultra perfectionné de l’inspecteur Malavoy, que toute la 
supercherie a été découverte. Oui me direz-vous, mais pourquoi ce recel à
 la médiathèque de Lisieux. AM…
La
 fille à l’écharpe est élancée, jolie, souriante. Elle a fait couper ses
 cheveux et choisi une coupe à la garçonne. Elle veut oublier les 
nuances de blanc et les tons métalliques si froids et a renouvelé sa 
garde-robe : un joli chandail rouge à col boule, une mini jupe plissée 
écossaise, des ballerines noires vernies lui donnent une allure 
charleston. Finis les rêves de grand blanc et de froid, de grands 
espaces, ce soir elle ira danser dans ces lieux surchauffés où la 
lumière changeante frappe les visages de raies multicolores et 
accrochent des étoiles sur les corps. Depuis peu elle a pris son 
autonomie, elle a quitté la maison de son père et de son enfance et 
emménagé dans un petit appartement meublé d’objets neufs et de 
souvenirs. Elle a envie de croquer la vie mais attention à 
l’indigestion ! Elle veut savourer cet avenir nouvellement acquis et ne 
pas le gaspiller. Enfin elle verra bien, elle fera comme tout le monde 
après tout et redressera la barre en cas d’écueils. Elle fera mieux que 
ses parents, c’est sûr ! Et eux, ce n’était déjà pas si mal. Son petit 
carnet lui tiendra lieu de code de la vie. Que c’est bon de vivre, que 
c’est beau la vie ! E…
David
 40 ans cherche âme sœur circule toujours à vélo. Il ramasse son sac ; 
sur le trottoir une pancarte : « j’ai faim » Un visage se tend vers lui.
 Vivant oui, humain oui. Frère humain. C…
Fiche ?????
 N° 27834 NOM : Martin Prénom : Josiane Date de naissance : 25 décembre 
1967 (et ça c’est pas un cadeau ! ) Lieu de naissance : Un petit trou 
perdu du Pays d’Auge Situation de famille : célibataire, cœur à prendre,
 tellement fleur bleue ! Adresse : 1 petit appartement un peu sombre 
dans un immeuble anonyme Profession : vendeuse, victime d’une patronne 
acariâtre Loisirs : Les collections Disparue depuis une semaine après 
s’être enfuie en courant de la boutique où elle 
travaille ??????????????????????????????????????il  manque une page ????????????
-       Je crois qu’on a bien retrouvé Josiane Martin. Durand, prévenez le commissariat, les recherches sont terminées. D…
Faites
 attention dans votre danse, vous bousculez tout » Tiens redonnes-moi 
ces billets de cent francs que tu as dans les mains, dit-elle à Joan 
tout jeune enfant de l’euro. Regardez ce poème que vous tenez en main, 
c’est un souvenir de votre grand-père du temps où il était bûcheron, je 
vais vous le lire : Vivre au milieu du silence- des sensations de rêves 
qui dansent- jusqu’au faîte d’une forêt dense- Aux trous béants abyssaux
 d’abondance- où la sève dans ses veines en ribambelles- chemine dans sa
 quête perpétuelle- des sommets d’arbres titanesques – où l’infini du 
bout de leurs doigts se tend- vers un univers funambulesque- entre ciel 
et terre, de l’arbre nain au géant- oui je veux vivre dans cette forêt –
 vivre dans les turpitudes de l’étroit et du gigantesque- là, où la 
sève, en colère, se contorsionne avec ivresse- là, je veux vivre en 
silence- dans le vent de ma conscience forestière- que je ne côtoie que 
depuis hier. Allez les enfants, vous pouvez aller jouer maintenant ! M…
La
 police qui était depuis bien des mois entrain d’enquêter sur ce qui 
avait  pu, en un temps  presqu’oublié du public, perturber le bon 
fonctionnement de nos musés parisiens, devait, sous peu, cesser ses 
recherches.Mais depuis s’était ajouté, presqu’à l’autre bout de la 
planète, les soucis que la découverte, un matin, d’un sarcophage vide, 
des disparitions bizarres d’objets qui avaient inquiété nos 
archéologues.Un jour, enfin, en fonction de la venue en France d’un de 
nos chercheurs et qui plus est de sa rencontre inopinée devant un café, 
sur la terrasse ‘’Non fumeurs’’ d’un  troquet parisien avec le 
commissaire principal chargé de ces enquêtes, ceux-ci parlèrent et 
s’écoutèrent. En homme de police averti notre commissaire enregistra les
 dires sur le sarcophage vide et la calculatrice électronique 
subtilisée. Après un rapide séjour en Egypte celui-ci  ne put déduire 
que l’auteur de ces méfaits nuisibles mais anodins ne pouvaient être, 
que le fait d’un déséquilibré léger, voyageur impénitent et blagueur et 
non pas comme imaginé dans un temps d’un revenant du dieu grec 
Belphégor.M...
Maintenant,
 regardez plutôt ces cartes postales. Oui Mamy !! Nous allons jouer avec
 ces cartes postales de la cave de Laval que papy collectionnait : Non 
n’y touchez pas, il y a trop de souvenirs dans cette salle des pas 
perdus où les gens se croisent et se décroisent. Où parfois ils se 
dépassent, leurs rêves dans leur esprit. Ils rêvent de salle d’attente, 
d’aéroport - où souvent on s’endort -vers des horizons en or- où le 
soleil vous dore d’auréoles- pendant une aurore où ils somnolent- bercés
 par les vents d’Eole- brassés par les éoliennes dit ?? les marquises- 
où la vie dans un hamac est exquise- ils rêvent de voyage en péniche- où
 le pur ??? se niche dans le creux de leur main- où les hommes quittent 
leur maison-niche- s’élançant vers la verte Méditerranée- océan de nos 
aînés qu’il faut conserver- où les voiliers nous emportent au-delà des 
horizons- comme des messagers, porteurs de nos vents- Zéphyrs, 
tramontane- Avec bien à l’esprit un besoin d’évasion- loin de nos 
sociétés à forte consommation- où l’on doit consommer sans somation  et 
avec détermination- Tiens maintenant ! Mes enfants j’y pense. Je détale 
et je me tire ailleurs. Non, MAMY, nous avons besoin de toi. Ne nous 
quitte pas. M…
Patou
 est facteur, son prénom c’est Patrice. Depuis son enfance on l’appelle 
Patou. Il part du tri postal vers 9 heures, sur le devant de son vélo, 
il a une sacoche pleine de lettres et sur le côté deux petites sacoches 
avec des revues comme Rêve télé et bien d’autres. Il neige à gros 
flocons. La route est glissante il arrive rue d’Alençon. Le vélo dérape 
le facteur tombe, les lettres sont éparpillées sur la neige il les 
ramasse elles sont toutes mouillées. Alors le facteur continue sa 
tournée, il a très froid il met les lettres dans les boites aux lettres.
 Certaines personnes auront des nouvelles fraîches, même mouillées et 
même si c’est une facture peut-être sera-t-elle très salée ? O…
Un
 jour en furetant il trouve le journal intime de sa grand-mère. Il est 
bien caché, glissé à l’intérieur de la cheminée de marbre, coincé avec 
une petite baguette de noisetier, ce détail l’émeut. Chaque fois qu’il 
vient chez le grand-père, il va lire quelques passages du journal, ça le
 replonge 60 ans en arrière. Rien d’extraordinaire dans ces écrits. Sa 
grand-mère n’est pas une star à la vie trépidante, juste une paysanne 
qui note « Le soleil brille L’herbe pousse, …mais parfois il y a des 
anecdotes. Il apprend ainsi que sa mère a eu un frère décédé tout jeune.
 Soudain de la cuisine lui arrivent des cris il prête une oreille 
distraite à l’altercation puis se lève pour regarder par la fenêtre. Le 
grand-père sort en hurlant de la maison suivi de près par sa fille. Le 
grand-père court jusqu’à la mare et saute. Un grand plouf qui effraie 
les canards. Coin coin. Sa mère crie. Ni une ni deux le jeune homme se 
précipite en bas des escaliers en trois enjambées le voilà auprès de la 
mare. Le pépé lui coule doucement. Telle la pierre, il se laisse glisser
 dans les profondeurs grises de la mare. Le jeune homme retire ses boots
 noires et saute pour récupérer le pépé dont on n’aperçoit plus que le 
béret à la surface de l’eau. Des bulles explosent à la surface de l’eau.
 La mère est hystérique. Elle hurle, les canards cancanent d’autant 
plus. Le jeune homme saisit le pépé dans les profondeurs de la vase et 
le remonte doucement à la lumière du printemps. Il le hisse sur la berge
 et lui tapote ses joues mal rasées. Le pépé déglutit, crachote. Ça 
faisait longtemps qu’il n’avait pas avalé autant d’eau. La mère du jeune
 homme un peu calmée revient de la cuisine avec le calva. Le jeune homme
 repousse la mère. La tête du papy posée sur les genoux, il sourit au 
soleil. Le Papy ouvre un œil puis deux il regarde son petit fils et lui 
aussi sourit. Sa grosse main bouge un peu, se lève et empoigne la main 
du jeune homme. G…
Proposition de démarrage de l'atelier. Annie distribue des mots à associer à deux ou trois, dans une conversation
Noyau
 de cerise Un bocal A quoi rêves-tu ?- Etre un électron libre, pas un 
fruit. - Mais si tu tournes sur toi-même préviens-moi car je vais être 
gêné par tes circonvolutions. -Oui mais la chute sera fatale -Tu seras 
le clou de la purée, comme dirait le girofle. - Star moi jamais ! -  Moi
 non plus car je ne suis pas de Deauville. - Et bien, moi j’y suis 
née.-         Je tourne en rond à la recherche d’un peu d’eau même 
salée. - Alors loue un aquarium, tu comprendras le sens de ta vie.-  Je 
vais en laver un et mis en bocal je serai toujours vide. - Vide 
existentiel, mon ami il faut te ressaisir si les poissons existaient 
qu’ils plongent dans le ventre de moi-même après que je sois rempli 
d’eau.-   Etre ou ne pas être telle est la question AM…D…
Deux 
brosses à dent -  Les voilà levés, au boulot ! ensuite nous aurons la 
matinée pour nous reposer. -  A propos as-tu vu que la brosse bleue a 
disparu dans la poubelle ? - Ce n’est pas toujours drôle d’être brosse à
 dents, il y a aussi celui-là qui n’a presque plus de dents mais il me 
frotte avec une véritable énergie sur son appareil qu’il a mis à 
tremper, il a tellement peu de microbes ! - Avec les petits enfants, il y
 a maltraitance, nos poils sont aplatis, mâchouillés ou alors on nous 
oublie, rester au fond du placard ce n’est pas une vie ! -  Et notre 
copine qui a fini à la poubelle, elle va être incinérés avec les déchets
 ménagers, est-ce qu’il y a réincarnation après la crémation ! B… E…
Liliputien
 Arbre Théière Les clans lilliputiens vivent toujours dans les souches 
d’arbres. Victmo lui a eu la surprise de naître sous cet arbre entouré 
de bitume qui trône comme le vestige d’une civilisation perdue à 
Hoctimville. Il a grandi au milieu des siens sans jamais pouvoir 
envisager de quitter ce minuscule espace de vie impossible de  partir, 
sans risquer de périr sous les roues d’une motob ??? ????? Victmo se 
distingue de la famille : lui ne regarde pas le sol, lui garde ???? vers
 le ciel. Maintenant il est âgé- et ô miracle, un oiseau a aussi 
retrouvé ????? la pollution, sans périr. Il se pose sur la souche de 
l’arbre et lui propose de lui faire découvrir le monde sous son aile.
Chute
 surprise Victmo ne sait plus si il est oiseau, insecte, graine, 
papillon ou s’il est enfant endormi sous l’arbre de la cour 
d’école : ???? il ne comprend toujours pas pourquoi il se retrouve avec 
un tel surnom, simplement parce qu’il a refusé d’écraser l’araignée qui 
traversait la cantine ??? *Et si cette araignée était un membre de sa 
famille ? ??????Pommes parmi les pommes*
Dialogue
 Aile d’oiseau bec d’oiseau Terrorisme aérien Aile – Toi le bec, j’t’ai à
 l’œil !... Bec- Moi, j’étais là le premier Aile – Je vais te voler dans
 les plumes ! Bec- Fais gaffe à tes turbines mirage de mes deux ! Aile- 
Dis-donc, le ciel est infini, laisse-moi respirer. Bec- Le problème, 
c’est que quand tu respires, tu laches des bombes. Aile- Attends, 
attends, tu te trompes de cibles, celui qui lache les bombes c’est celui
 qui m’a créé. Moi, j’exécute. Bec – moi, le bec, j’ai besoin de 
personne, je suis libre comme l’air. A suivre….
Il fait chaud 
aujourd’hui, qu’est-ce que tu en penses ? - Il fait lourd. - Je suis en 
pann. - C’est bien notre veine, encore un fonctionnaire celui là. -  
C’est bien fait pour vous, vous m’avez mis au placard tout l’hive. -  
Quand les oiseaux vont revenir, qu’est-ce que j’aurai chaud. -  Un 
fonctionnaire mis au placard ça veut dire ce que ça veut dire. -  Niche à
 chien, tu demanderais pas à ton chien de nous ventiler avec sa queue - 
 Je sais pas-  Encore une façon détournée de supprimer des postes de 
fonctionnaires. O…G…C…La branche : Je suis en place depuis la fin de l’hiver et je grandis puisque la sève me pousse et je t’attends… La feuille : Je suis déjà là depuis longtemps. Tu ne m’as pas vue à cause du vent qui n’arrête pas de me faire virevolter. Toi, tu as de la chance, tu ne bouges pas trop. La branche : Non, si je ne t’ai pas vue, ce n’est pas en fonction du vent mais de ta petite taille ! La feuille : Sais-tu que nous sommes tellement nombreuses sur toi depuis plusieurs lunes que je m’étonne que tu me compares encore à un bourgeon, … La branche : Mais je t’avais remarquée quand tu étais naissante et le temps de détourner mon regard tu es devenue presque semblable aux autres, donc difficile à repérer. La feuille : Avec mes compagnes nous avons décidé de profiter de la prochaine tornade pour aller voler dans les airs… Je préfère te prévenir pour que tu ne sois pas déçu… La branche : NON, pitié, si je dois en garder, ne serait-ce qu’une, je voudrais bien que ce soit toi… jusqu’à la prochaine…M...V...
 
 
 
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