A tous les élèves qui ont des dossiers à faire en classe de français, mais aussi à tous les amoureux des lettres, des mots, du jeu avec les mots, la revue "Virgule" est faite pour vous.
Vous y trouverez chaque mois un dossier sur un auteur, sur un haut lieux de la littérature, ainsi qu'une rubrique sur l'histoire des mots ou une autre encore appelée "Etymolojeu", petit questionnaire sur la définition des mots.
C'est ainsi qu'à la SPM (Société Protectrice des Mots), on recueille des mots maltraités, délaissés, en voie de disparition ou abandonnés. Toute sorte de mots : petits ou gros, courts ou longs, jeunes ou vieux, simples ou compliqués, familiers ou savants !
Dans "Virgule" de ce mois-ci, le mot à l'honneur est "Goujat". Extrait :
Traiter quelqu'un de goujat, c'est-à-dire de grossier personnage, n'a pas toujours été insultant. En effet, ce nom, issu probablement de gojat, le"gars", le "garçon", en ancienne langue provençale, désignait au XVIIe siècle un "valet d'armée", c'est-à-dire un domestique affecté au service d'un soldat. Est-ce parce que le goujat était d"une basse extraction sociale que ce mot a pris peu à peu un sens péjoratif ? Est-ce surtout parce que les moeurs des goujats de l'armée ne devaient pas être d'un grand raffinement ? Quoi qu'il en soit, le goujat est devenu, au XVIIIe siècle, un "homme grossier", un rustre, un malotru.
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Vous y trouverez chaque mois un dossier sur un auteur, sur un haut lieux de la littérature, ainsi qu'une rubrique sur l'histoire des mots ou une autre encore appelée "Etymolojeu", petit questionnaire sur la définition des mots.
C'est ainsi qu'à la SPM (Société Protectrice des Mots), on recueille des mots maltraités, délaissés, en voie de disparition ou abandonnés. Toute sorte de mots : petits ou gros, courts ou longs, jeunes ou vieux, simples ou compliqués, familiers ou savants !
Dans "Virgule" de ce mois-ci, le mot à l'honneur est "Goujat". Extrait :
Traiter quelqu'un de goujat, c'est-à-dire de grossier personnage, n'a pas toujours été insultant. En effet, ce nom, issu probablement de gojat, le"gars", le "garçon", en ancienne langue provençale, désignait au XVIIe siècle un "valet d'armée", c'est-à-dire un domestique affecté au service d'un soldat. Est-ce parce que le goujat était d"une basse extraction sociale que ce mot a pris peu à peu un sens péjoratif ? Est-ce surtout parce que les moeurs des goujats de l'armée ne devaient pas être d'un grand raffinement ? Quoi qu'il en soit, le goujat est devenu, au XVIIIe siècle, un "homme grossier", un rustre, un malotru.
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