FONTAINE SAINT-MÉEN AU PRÉ-D'AUGE
Depuis le 3 mai et jusqu'au 28, dans le cadre de la deuxième édition du festival « Terre d'eaux - Estuaire de la Seine » qui se déroulera du 14 au 29 mai 2016, la Médiathèque intercommunale André Malraux vous présente un reportage photographique inédit de Julien Boisard, réalisé en juin 2014 à la demande de Lintercom : « Couleurs sur l'eau dans le Pays d'Auge »
BÉLIER HYDRAULIQUE A COURTONNE-LES-DEUX-ÉGLISES
PARC DU CHÂTEAU DE SAINT-GERMAIN-DE-LIVET
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[Pisseuses de la Valaine ©Aurore Chauvry]
La bille, le gros et la galuche (15 mins) : À la fin du 18ème siècle, on ramassait déjà des galets. De cette activité qui s’étendait d’Antifer à Cayeux, il ne reste aujourd’hui que quelques témoins.
En bas des falaises, les « galériens » ont acheminé durant deux siècles, plus de 2 millions de m3.
Aujourd’hui le ramassage des galets est interdit, les galériens nous racontent leur métier et nous parlent de ce paysage entre pied de falaises érodées et estuaire de la Seine.
Ils savent mieux que quiconque où s’en vont et viennent les cailloux !
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Le 21 mai à 15h00 dans l'auditorium de la Médiathèque nous vous proposons d'assister en présence de la réalisatrice Aurore Chauvry à la projection de ses 2 courts-métrages de la collection Mémoires d'eaux 2016 :
Les pisseuses (15 mins) : La pointe de Caux a ce mystère qu’elle ne possède aucune rivière de surface. L’eau coule cachée dans la masse karstique et s’échappe en « pisseuses » à flanc de falaise vers la mer. De ce mystère, reste des cavités profondes où nous descendons pour révéler ces sources enfouies que déjà Guy de Maupassant décrivait. En surface, seules les bétoires induisent les failles qui mènent aux multiples bras aquatiques. Un sourcier nous trace le chemin de la force de l’eau. Des agriculteurs racontent comment soudain s’ouvre le sol créant les « bétus ».
[René, Bibi et Jacquo au Tilleul - coll.Jacques Delahaye]
La bille, le gros et la galuche (15 mins) : À la fin du 18ème siècle, on ramassait déjà des galets. De cette activité qui s’étendait d’Antifer à Cayeux, il ne reste aujourd’hui que quelques témoins.
En bas des falaises, les « galériens » ont acheminé durant deux siècles, plus de 2 millions de m3.
Aujourd’hui le ramassage des galets est interdit, les galériens nous racontent leur métier et nous parlent de ce paysage entre pied de falaises érodées et estuaire de la Seine.
Ils savent mieux que quiconque où s’en vont et viennent les cailloux !
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Le programme du festival c'est par ici, le site de Julien Boisard par là, et celui d'Aurore Chauvry juste à côté.
En cadeau bonus et pour tout l'été nous vous offrons cette vitrophanie qui vous fera vous sentir comme à la campagne :
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