Non mais, quelle affiche !
C'est en arrivant dans une bourgade de la Côte fleurie touchant Honfleur qu'elle m'a tapée dans l'oeil, rutilante dans une longue enfilade de grands espaces publicitaires Decaux, on peut dire que cela vous fait une entrée de ville très remarquée.
Ce rouge, rouge sang, est bien la couleur de ralliement de l'autre festival de cinéma annuel que s'offre la petite ville de Deauville (4000 habitants), mettant à l'honneur et pour le bonheur des sino-cinéphiles (?) le cinéma asiatique du 10 au 14 mars.
La Chine, en particulier, sera bien représentée avec une rétrospective de son réalisateur Lou Ye et sa Nuit d'ivresse printanière et un regard sur l'oeuvre du cinéaste Lu Chuan, dont le dernier City of life & death n'est pas encore diffusé en France. Autre long métrage à découvrir, Lola, du philippin Brillante Ma. Mendoza, que ce 12e festival salue en nous proposant l'intégrale de son oeuvre.
Ce sont 4 journées et soirées intenses de projections au Centre international de Deauville, mais aussi au cinéma du Casino et dans les salles du Morny-Club ; le tout pour une somme modique - 34 € le pass pour tout le festival- , et les demandeurs d'emploi ne sont pas oubliés, avec un pass à 5 €, c'est royal !
En plus du prix de la fameuse affiche, vous saurez tout, absolument tout, en vous aventurant ici
C'est en arrivant dans une bourgade de la Côte fleurie touchant Honfleur qu'elle m'a tapée dans l'oeil, rutilante dans une longue enfilade de grands espaces publicitaires Decaux, on peut dire que cela vous fait une entrée de ville très remarquée.
Ce rouge, rouge sang, est bien la couleur de ralliement de l'autre festival de cinéma annuel que s'offre la petite ville de Deauville (4000 habitants), mettant à l'honneur et pour le bonheur des sino-cinéphiles (?) le cinéma asiatique du 10 au 14 mars.
La Chine, en particulier, sera bien représentée avec une rétrospective de son réalisateur Lou Ye et sa Nuit d'ivresse printanière et un regard sur l'oeuvre du cinéaste Lu Chuan, dont le dernier City of life & death n'est pas encore diffusé en France. Autre long métrage à découvrir, Lola, du philippin Brillante Ma. Mendoza, que ce 12e festival salue en nous proposant l'intégrale de son oeuvre.
Ce sont 4 journées et soirées intenses de projections au Centre international de Deauville, mais aussi au cinéma du Casino et dans les salles du Morny-Club ; le tout pour une somme modique - 34 € le pass pour tout le festival- , et les demandeurs d'emploi ne sont pas oubliés, avec un pass à 5 €, c'est royal !
En plus du prix de la fameuse affiche, vous saurez tout, absolument tout, en vous aventurant ici
Non, cet hiver interminable et usant n'aura pas notre peau : on ne se glisse pas sous la couette, bien au contraire ! On se dit que, avec ce festival abondamment médiatisé, c'est le printemps qui s'annonce, alors on profite de l'aubaine !
Qui sait ? C'est peut-être aussi l'occasion d'aller voir la mer, sans la crainte d'un vent glacial qui nous morde, nous griffe, nous arrache des larmes de froid...
Qui sait ? C'est peut-être aussi l'occasion d'aller voir la mer, sans la crainte d'un vent glacial qui nous morde, nous griffe, nous arrache des larmes de froid...
1 commentaire:
Rrrahhh... il y a des moments riches à Brest, mais il n'y a pas le festival du film asiatique...
Quelle chance vous avez !
Et cette année particulièrement. Si vous avez l'occasion de voir un film de Brillante Mendoza, vous saurez ce que je veux dire... Si en plus (merci l'intégrale !) vous pouvez voir Serbis, FONCEZ !!!
La bise brestoise et printanière.
Enregistrer un commentaire