La jalousie, un souffle qui nous épuiseLe pardon, un souffle qui nous soulage
L'espoir, un souffle qu'on retient
La passion, un souffle qu'on libère...
Le nouveau film de Kim Ki-duk "Souffle" est sur nos écrans depuis le 21 novembre. Un rendez-vous immanquable pour tous les fondus de cinéma coréen, dont je suis.
Et comme d'habitude avec Kim Ki-duk, une nouvelle expérience de cinéma...
L'histoire : une jeune femme, mère de famille, trompée, trouve une consolation et un nouveau "souffle" en rendant visite à un condamné à mort, qui multiplie les tentatives de suicide.
Un film dans la lignée de l'oeuvre du cinéaste ; il y traite ses thèmes de prédilections, avec toute l'ambiguïté qu'on lui connaît : violence, sensualité, sexualité.
Comme toujours avec Kim Ki-duk, le film déroute, intrigue, énerve parfois.
Comme toujours le film résiste.
Les cadrages, la lumière, le rythme du film emportent le spectateur dans cet univers onirique. Les acteurs sont d'une beauté d'une autre planète ; Chang Chen, qui joue le rôle du condamné, est égal à lui-même, et confirme son statut d'acteur fétiche du cinéma asiatique. (On a pu le voir dans des films de Wong Kar-Waï : Happy Together ou 2046 ; ou dans Three Times de Hou Hsiao Hsien)
Et puis on assiste à quelques scènes d'anthologie : le moment où Chang Chen, de retour en cellule, suce le cheveu que la femme aimée vient de lui donner est inoubliable !
Rendez-vous, donc, au cinéma.
Et bien sûr, vous trouverez, à la médiathèque, de nombreux films de Kim Ki-duk : Printemps, été, automne, hiver... et printemps, L'Arc, Locataires ; ainsi que la plupart des films de Wong Kar-Waï et de Hou Hsiao Hsien.
Et si le cinéma asiatique (ou mieux encore, le cinéma coréen...) vous intéresse, n'hésitez pas, passez nous voir !
Et comme d'habitude avec Kim Ki-duk, une nouvelle expérience de cinéma...
L'histoire : une jeune femme, mère de famille, trompée, trouve une consolation et un nouveau "souffle" en rendant visite à un condamné à mort, qui multiplie les tentatives de suicide.
Un film dans la lignée de l'oeuvre du cinéaste ; il y traite ses thèmes de prédilections, avec toute l'ambiguïté qu'on lui connaît : violence, sensualité, sexualité.
Comme toujours avec Kim Ki-duk, le film déroute, intrigue, énerve parfois.
Comme toujours le film résiste.
Les cadrages, la lumière, le rythme du film emportent le spectateur dans cet univers onirique. Les acteurs sont d'une beauté d'une autre planète ; Chang Chen, qui joue le rôle du condamné, est égal à lui-même, et confirme son statut d'acteur fétiche du cinéma asiatique. (On a pu le voir dans des films de Wong Kar-Waï : Happy Together ou 2046 ; ou dans Three Times de Hou Hsiao Hsien)
Et puis on assiste à quelques scènes d'anthologie : le moment où Chang Chen, de retour en cellule, suce le cheveu que la femme aimée vient de lui donner est inoubliable !
Rendez-vous, donc, au cinéma.
Et bien sûr, vous trouverez, à la médiathèque, de nombreux films de Kim Ki-duk : Printemps, été, automne, hiver... et printemps, L'Arc, Locataires ; ainsi que la plupart des films de Wong Kar-Waï et de Hou Hsiao Hsien.
Et si le cinéma asiatique (ou mieux encore, le cinéma coréen...) vous intéresse, n'hésitez pas, passez nous voir !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire