En ces temps d'expositions clinquantes et de dépréciation institutionalisée de la culture je trouve toujours très réconfortant et reposant de pouvoir contempler cette œuvre étrange d'Antoine Wiertz (1806-1865)
Deux jeunes filles, ou la belle Rosine
(1847)
Sur le crâne du squelette , on y peut lire "La Belle Rosine"... comme une promesse de ce que nous serons tous...
Le
Musée Wiertz à Bruxelles (Rue Vautier 62, 1050 Ixelles)
C'était le billet du jour du barbon de la Médiathèque.
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