jeudi 14 janvier 2010

Exposition

Du 5 janvier au 27 février 2010

François Gaulier expose
"Jeux de cadres, sculpture architecture"


Espace adultes













Hall d'accueil



"Trois degrés de liberté, sculpture architecture"

Ces deux sculptures de quatre cadres orientés orthogonalement dans lespace, donne un point de vue sur l'espace. Comme on le ferait avec un appareil photographique, cette sculpture cadre l'espace. Le public est amené à regarder le lieu d'exposition à travers le prisme de cette sculpture avec, au sens propre, quatre cadres différents.

Cette oeuvre nous rappelle aussi l'importance de la qualité de nos espaces de vie, savant mélange de nature domestiquée et de construction de l'esprit.

Par ailleurs, cette sculpture reprend le vocabulaire des charpentiers et leurs techniques d'assemblage des poutres de chêne, clin d'oeil aux colombages des maisons normandes, des charpentes ou des grues industrielles du port du Havre.

François Gaulier, sculpteur www.gauliersculpteur.fr

Plus quelques petites sculptures en vitrine.













5 commentaires:

Stéphanie a dit…

C'est génial cette idée !
Est-ce un sculpteur normand ???
comment fait-on pour le rencontrer ???
merci les collègues !
Une bise à vous,
Stéphanie.

Anonyme a dit…

Stépanie,
habitant la région parisienne, je dois repasser à Lisieux à la fin du mois ou début février 2010. Cela sera une occasion de vous présenter mon travail en général.En attendant voici le lien de mon site: http://www.gauliersculpteur.fr et mon mail: contact@gauliersculpteur.fr
à bientôt
François

Anonyme a dit…

Je trouve ces sculptures très belles!!!
C'est quelques chose à ne pas rater.

Claudie a dit…

la sculpture qui s'expose et qui en même temps laisse le monde affleurer à travers elle, c'est très beau!

joleterrible a dit…

Bonjour
Je préfère ces fenêtres à celles de Microsoft. Elles sont en bois, matière belle et naturelle, et semblent elles, bien réelles. Quoique pour l'instant je ne les visionne qu'à travers une fenêtre de mon PC. Il faudra bien que je les touche un de ces jours !
Jo