Le nom de Caroline Riegel ne vous dira sans doute pas grand chose.
Mais...
Si je vous dis qu'elle est éditée chez Phébus, dans la riche collection "D'ailleurs" ; si j'ajoute que la préface de son livre est rédigée par Bernard Ollivier, auteur de La Longue marche... vous voyez où je veux en venir ?
Caroline Riegel est ingénieur hydraulique. Après une saison passée aux Etats-Unis et quelques missions techniques aux quatre coins du monde et de la France, la bougeotte la reprend. Elle a en tête depuis des années une idée, une obsession : suivre le parcours d'une goutte d'eau du Lac Baïkal jusqu'à la Mer du Bengale. Rien de moins !
Si je vous dis qu'elle est éditée chez Phébus, dans la riche collection "D'ailleurs" ; si j'ajoute que la préface de son livre est rédigée par Bernard Ollivier, auteur de La Longue marche... vous voyez où je veux en venir ?
Caroline Riegel est ingénieur hydraulique. Après une saison passée aux Etats-Unis et quelques missions techniques aux quatre coins du monde et de la France, la bougeotte la reprend. Elle a en tête depuis des années une idée, une obsession : suivre le parcours d'une goutte d'eau du Lac Baïkal jusqu'à la Mer du Bengale. Rien de moins !
Elle nous entraine avec elle, pendant ses vingt-deux mois de marche, de rencontres, de surprises. Vingt-deux mois consacrés à cet élément qui l'anime, et pour lequel elle s'enflamme : l'eau ; et à prendre conscience du danger que court notre planète en observant les dérèglements provoqués par les hommes tout au long du parcours d'une goutte.
Le récit commence par un long voyage en train, à bord du transsibérien, comme pour se caler sur un rythme qui échappe à notre temps.
L'arrivée en Sibérie marque le début de l'aventure ; et déjà la joie de vivre de Caroline Riegel est à l'oeuvre. Avec un regard toujours tendre sur ce qui l'entoure, avec un amusement constant, elle défie tous les dangers ou les obstacles.
C'est cette joie de vivre et ce désir de rencontres plus fort que l'hiver sibérien, plus grand que le trajet qu'elle suit, qui va lui permettre de mener à bien son aventure.
C'est aussi sa faculté d'oublier son objectif qui va lui procurer les plus grandes joies. Elle n'est pas pressée Caroline, elle prend le temps de s'arrêter, de tisser des liens, de rigoler franchement, et même de boire un coup et de manger jusqu'à plus faim du tout.
Nous qui l'observons, nous disons "quel courage, quelle force ! " ; elle, et Bernard Ollivier, nous disent "quelle envie !".
Vous pouvez visiter le site internet de Caroline Riegel ; et bien sûr, emprunter les livres à la médiathèque.
- Du Baïkal au Bengale I, Soifs d'Orient. [910.4 RIE]
- Du Baïkal au Bengale II, Meandres d'Asie. [910.4 RIE]
Le récit commence par un long voyage en train, à bord du transsibérien, comme pour se caler sur un rythme qui échappe à notre temps.
L'arrivée en Sibérie marque le début de l'aventure ; et déjà la joie de vivre de Caroline Riegel est à l'oeuvre. Avec un regard toujours tendre sur ce qui l'entoure, avec un amusement constant, elle défie tous les dangers ou les obstacles.
C'est cette joie de vivre et ce désir de rencontres plus fort que l'hiver sibérien, plus grand que le trajet qu'elle suit, qui va lui permettre de mener à bien son aventure.
C'est aussi sa faculté d'oublier son objectif qui va lui procurer les plus grandes joies. Elle n'est pas pressée Caroline, elle prend le temps de s'arrêter, de tisser des liens, de rigoler franchement, et même de boire un coup et de manger jusqu'à plus faim du tout.
Nous qui l'observons, nous disons "quel courage, quelle force ! " ; elle, et Bernard Ollivier, nous disent "quelle envie !".
Vous pouvez visiter le site internet de Caroline Riegel ; et bien sûr, emprunter les livres à la médiathèque.
- Du Baïkal au Bengale I, Soifs d'Orient. [910.4 RIE]
- Du Baïkal au Bengale II, Meandres d'Asie. [910.4 RIE]
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